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ville de vanves - Page 167

  • VANVES SOUS LES REPERCUSSIONS DES GREVES

    La ville de Vanves a écrit aux parents d'élèves voilà quelques jours pour leur indiquer que le service minimal d'accueil, pourtant obligatoire, ne sera appliqué que dans 2 des 12 écoles (Gambetta maternelle et Gambetta élémentaire)

    «Le Jeudi 19 Janvier, une grève générale et interprofessionnelle est prévue. Cette gréve est suivie par un important nombre d’enseignants et d’agents municipaux. En application de la loi du 20 Août, 2008, il incombe aux communes de mettre en place un service minimum d’accueil (SMA) en remplacement des enseignants grévistes, lorsque le taux de ces enseignants est égal ou supérieur à 25%. Cependant au vu de l’effectif important d’agents municipaux en gréve, nous ne sommes pas en mesure de pouvoir assurer le SMA dans un grand nombre d’écoles » a écrit Xaviére Martin adjointe au maire chargée des écoles, aux parents d’éléves

    L’autre point sera les transports avec un trafic très perturbé sur les lignes 12 et 13 que prennent souvent les vanvéens, certaines seront ouvertes uniquement aux heures de pointes, et pour certaines exploitées partiellement. En moyenne 2 bus sur 3 circuleront sur l'ensemble du réseau, comme sera  le cas pour les lignes 126, 189, 394 et  51 qui traversent notre commune. Le Transilien qui dessert la gare deVanves Malakoff ne verra qu’un train sur dix circuler. C’est pourquoi Ile de France Mobilités invite les franciliens à privilégier le covoiturage, le véligo…Ou carrément le télétravail

    D’ailleurs l’un des effets de cette nouvelle gréve a été de vor maintenant les vanvéens prendre leurs précautions en envahissant les stations services pour faire le plein. D’ailleurs, un vanvéen ministre n’avait pas été tendre à l’automne lors des grèves des transports :  «J'ai entendu que le mot d'ordre, c'était zéro métro, zéro RER. Je prolongerai en disant que c'est aussi zéro empathie pour tous les Français qui n'ont pas pu travailler, se déplacer», avait fustigé Gabriel Attal  ministre du Budget… et du blocage des raffineries : « Quelques syndicalistes donnent parfois l'impression de s'asseoir sur les intérêts de millions de Français….Ce qui est inacceptable, ce sont ces situations de blocage alors même que des accords majoritaires ont été trouvés […] Je trouve cela incompréhensible» avait poursuivi le ministre qui fait parti de ceux qui occupent le terrain médiatique comme ses collègues Olivier Dussopt, Olivier Veran, Brubno Le Maire pour défendre cette réforme des retraites nécessaire et juste. 

  • PAS DE TROTTINETTES EN LIBRE SERVICE A VANVES MAIS UNE CAMPAGNE «PARTAGEONS LA RUE»

    Avec la réforme des retraites, le retour des gréves, le retour du grand froid, l’actualité de cette semaine concerne les trottinettes avec l’annonce d’u référendum à Paris par Anne Hialgo sa maire. A Vanves, le problème ne se pose pas puisque dès 2019, au moment où elles se popularisaient, l’intercommunalité Grand Paris Seine Ouest  (GPSO) bannissait les trottinettes électriques en libre-service sur son territoire ( Boulogne-Billancourt, Chaville, Marnes-la-Coquette, Vanves, Issy-les-Moulineaux, Ville-d’Avray, Meudon et Sèvres). Mais GPSO méne tout de même une campagne de sensibilisation sur le théme « Partageons la rue, c’est un espace pour tous », avec guide pratique,  car d’autres moyens de locomotions existent comme les scooters en libre-service, gyropodes, hoverboards et autres

    La maire de Paris a annoncé un référendum sur les trottinettes en libre-service car elle souhaite les interdire : «Mon idée, c’est qu’on arrête, mais je respecterai le vote des Parisiens, même s’il est contraire à ce que j’aimerais». Seules les 15.000 trottinettes de location qui sont en circulation sont concernées. Il n'est pas question d’interdire aux Parisiens qui ont leur propre trottinette de rouler avec, comme c’est le cas à Vanves. Force est de reconnaitre qu’elles sont à l’origine de nombreux problèmes: des usagers indisciplinés, qui ne respectent pas le code de la route, montent parfois à plusieurs sur une trottinette, roulent en contre sens, frôlent des piétons, ce que redoutent nos seniors.

    Les accidents ont augmentés de 37 % par rapport à l’année d’avant. Le Journal du dimanche a de son côté estimé que les trottinettes électriques avaient fait 6 000 blessés en 2022. La sécurité routière n’a pas confirmé ce chiffre et assure que le nombre d’accidents les impliquant avait augmenté de 177 % entre 2019 et la période s’étalant d’août 2021 à juillet 2022. La sécurité n’est pas le seul grief relevé par Anne Hidalgo à l’encontre des trottinettes électriques en libre-service. La maire de Paris estime aussi que ces véhicules n’ont rien d’écologique et pointe du doigt les conditions de travail des employés des opérateurs, estimant que ceux-ci s’avèrent très mal protégés

    A ces menaces d'interdiction, les opérateurs ont d’ailleurs formulé plusieurs propositions en novembre dernier,  comme mettre des plaques d’immatriculation pour identifier les contrevenants, plus de patrouilleurs et un contrôle des cartes d’identité pour interdire aux mineurs de les utiliser, ce qui est le cas depuis le 27 novembre dernier

  • LA VOIRIE DE VANVES ET DES HAUTS DE SEINE DE NOUVEAU A L’EPREUVE AVEC LA NEIGE ANNONCEE

    Selon Météo France, de la neige est attendue à partir d’ajourd’hui sur Vanves et sa région, après la pluie et le vent de ce week-end sur fond de baisse des températures, la dépression Gérard qui a circulé sur la région Île-de-France entre le milieu de matinée et le début de l'aprés midi, hier apportant de fortes bourrasques à son passage. Après une nuit sans pluie, la situation devrait à nouveau se dégrader mardi avec une nouvelle baisse des températures et l’arrivée de flocons de neige, le plus souvent mêlés à la pluie. Le grand froid qui a submergé  en décembre les Hauts de Seine et Vanves  a permis de vérifier la fiabilité du plan «grand froid » tant de GPSO  que des services départementaux des Hauts de Seine

    Un dispositif mis à rude épreuve par les intempéries, mais qui a su à la fois prouver sa pertinence, et faire connaître au grand public les moyens mis en œuvre pour faire face à ces intempéries. Dans le cadre du plan de viabilité hivernale, les services départementaux ont été mobilisés 24 heures sur 24 pour intervenir sur les 1 560 kilomètres de routes. Ce plan, partagé avec le département des Yvelines, définit les moyens mis en œuvre et l’ordre de priorité de traitement des voies, notamment en matière de salage et de déneigement.

    Le trafic routier dans les Hauts-de-Seine se distingue en effet par une circulation extrêmement dense, unique en France. Toutes les routes départementales ne peuvent donc pas être salées ou déneigées au même moment. Pour mieux gérer les priorités, les voies ont été classées en trois catégories : niveau 1 pour les liaisons principales, niveau 2 pour les voies importantes, et niveau 3 pour les autres routes départementales..

    Mais la nature d’un réseau routier étant de s’étendre au-delà des limites départementales, d’autres acteurs sont aussi intervenus sur le réseau routier alto-séquanais. Ainsi, la direction des routes d’Ile-de-France a pris en charge le traitement des routes nationales et autoroutes, tandis que les communes ont traité une partie du réseau départemental situé sur leur territoire, ainsi que leur propre réseau communal. Ainsi à GPSO, pendant la période hivernale, près de 400 agents d’astreinte sont mobilisables pour intervenir 24h sur 24, 7jours/7 sur l’ensemble du territoire  ;  19 saleuses,  5 lames de déneigement  sont prêtes à assurer l’entretien et la sécurisation des  294 km de voirie. Les dépôts de sel sont approvisionnés à plein, soit  1 500 tonnes  d’ores et déjà disponibles sur le territoire et un stock tampon de sel, situé à Rouen, un délai d’approvisionnement de 24 heures en cas d’urgence est à prévoir. Sur le plan individuel, enfin, les habitants et commerçants étaient tenus de saler et déneiger leurs trottoirs.

    Le plan «grand froid» a également été activé par la préfecture des Hauts-de-Seine le 12 décembre. Le 115, le numéro d’appel d’urgence pour les personnes les plus vulnérables et les sans-abri, accessible 24 heures sur 24, a vu ses équipes renforcées. Des places d’hébergement d’urgence supplémentaires ont également été ouvertes. Les personnes qui constataient une situation d’urgence ont pu ainsi composer le 115, ce qui a permis d’orienter immédiatement les personnes en difficulté vers une structure d’hébergement